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Notice d'autorité
Personne

Augiéras, Ernest Marcel

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  • Personne
  • 1883-1958

Marcel Augiéras est un officier, géographe et explorateur français.
Entré au Service des Affaires indigènes (1913), il rejoint successivement les compagnies sahariennes du Touat, de la Saoura et du Tidi-Kelt, soit comme lieutenant, soit en qualité de commandant d’une unité méhariste et chef de l’annexe. Promu officier supérieur, il commande le cercle de l’ouest saharien puis, pendant la première partie de la guerre 1939-1945, il est appelé à exercer les fonctions de commandant militaire adjoint du territoire des Oasis.
Sa carrière saharienne, particulièrement féconde, revêt un triple caractère militaire, administratif et scientifique. Le 25 décembre 1920 a lieu la jonction mémorable au puits de El-Mserreb entre les Méharistes des compagnies du Touat et de la Saoura qu’il commande et les Méharistes du groupe nomade de la Mauritanie avec à leur tête le chef de bataillon Lausanne, de l’infanterie coloniale. Il dirige une mission scientifique dans le Sahara central placée sous le patronage de la Société de géographie de France (1927-1928).
Il parvient à dresser une carte du Sahara occidental au 1/500 000 (1919) qu'il complète en 1923 après sa traversée du Sahara occidental de Béni Abbès (Algérie) à Podor (Sénégal), d'octobre 1920 à mars 1921. L’expédition Augiéras, avec son co-équipier, le riche américain Draper, en 1927 et 1928, est demeurée célèbre. Théodore Monod, naturaliste, accompagne cette mission de la première traversée du Sahara, via le Hoggar et doit au colonel Augiéras sa passion pour le désert.
Il est nommé inspecteur général des chasses en Afrique Occidentale Française avant de se retirer à El Goléa où il crée un musée avec les objets collectés et des trophées de chasse.
Il était membre de l'Académie des Sciences d'Outre-Mer (1953).
Il était l'oncle de François Augiéras.

Awzal

  • Personne

Boglione

  • Personne

Bonète, Yves

  • Personne
  • 1925-...

Yves Bonète est né le 5 novembre 1925 à Alger. Il reçoit d’abord une formation d’ingénieur des travaux publics de l’Etat. En 1952, sa véritable vocation le pousse vers une activité d’aide et d’assistance à des travailleurs, comme des artisans, rencontrant des difficultés dans leur profession. Lucien Golvin le nomme au poste de Chef de circonscription artisanale de Laghouat (Algérie). A partir de 1960, date de la coupure administrative Algérie-Sahara, il exerce la fonction de Chef de service de l’artisanat jusqu’en octobre 1962. Au cours de cette décennie passée au Sahara, il constitue la documentation photographique déposée à la Médiathèque de la MMSH. Il étudie pendant cette période une fraction de tribu de pasteurs nomades (Larbaa), étude pour laquelle il obtient un doctorat de troisième cycle de Géographie humaine en 1962. Il écrit des articles dans la revue Les Cahiers des arts et techniques d’Afrique du Nord. A son retour en France, il a une activité pour le Bureau international du Travail jusqu’en 1985, date à laquelle il prend sa retraite.

Bromberger, Christian

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  • Personne
  • 1946-

Natif de Paris en 1946, Christian Bromberger est actuellement professeur émérite d'ethnologie à l’université d’Aix-Marseille, et membre de l'Institut universitaire de France dans la chaire d’ethnologie générale depuis 1995. Agrégé en Lettres classiques en 1968, c’est par le goût du voyage, ainsi que sa curiosité et son attrait pour la diversité qu’il se dirige progressivement vers l’ethnologie. Depuis, il a dirigé l’Institut d’ethnologie méditerranéenne et comparative et l’Institut français de recherche en Iran (IFRI). Ses recherches anthropologiques ont porté entre autres sur les thèmes de l’habitat, des identités collectives, de la culture matérielle et technique, des passions sportives autour du football, ainsi que de la pilosité en Méditerranée.

Christian Bromberger

  • Personne

Christian Bromberger, anthropologue est professeur émérite d'ethnologie à Aix-Marseille Université (AMU) (anciennement Université de Provence) membre de l'Institut universitaire de France et ancien directeur de l'IDEMEC et de l'Institut français de recherche en Iran. Il est auteur de plusieurs ouvrages notamment sur l'Iran Un autre Iran. Un ethnologue au Gilân et sur le football : Le match de football: Ethnologie d'une passion partisane à Marseille, Naples et Turin. Il a déposé l'ensemble de ses sources sonores au sein de la Phonothèque de la Maison méditerranéenne des sciences de l'homme

Colin, Georges-Séraphin

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  • Personne
  • 1893-1977

Philologue et historien. Chercheur et diplomate. Titulaire de six diplômes de l'École des langues orientales (arabe littéral, arabe oriental, persan, turc, abyssin, malais). Titulaire de la chaire d'arabe maghrébin de l'École des langues orientales (1927-1963). A poursuivi parallèlement une carrière de chercheur et une carrière diplomatique. A traduit de l'arabe en français .
Il est appelé au Maroc par le général Lyautey et détaché de l'armée en 1918 comme interprète auxiliaire au Service de Renseignements. Entre 1919 et 1921, il est envoyé à l'Institut Français d'Archéologie Orientale du Caire. Mis à disposition du Protectorat au Maroc en 1921, il commence une carrière aux Affaires étrangères, carrière qu'il poursuivra, hors cadre, quand il optera pour l'enseignement et la recherche en 1926. En 1927, il est nommé à la Direction d'Etudes d'arabe moderne à l'Institut des hautes études marocaines et à la chaire d'Arabe maghrébin de l'Ecole nationale des Langues Orientales. Successivement chargé de cours, professeur d'arabe moderne, et enfin directeur d'études à l'Institut des Hautes Etudes marocaines jusqu'en 1958, il enseigne comme professeur d'arabe maghrébin à l'ENLO jusqu'en 1963. Entre Paris et Rabat il collabore avec Lévi-Provençal, Henri Terrasse ; il forme des générations d'étudiants et publie des ouvrages pour eux. Dès 1921, il accumule dans un fichier manuscrit un nombre considérable de données linguistiques sur le dialecte marocain. Retraité, il poursuit ses recherches en dialectologie à Rabat où il apporte son concours à l'Institut d'Etudes et de Recherche pour l'Arabisation pour l'exploitation de son propre fichier d'arabe marocain qui y est encore en dépôt.

Colonna, Fanny

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  • Personne
  • 1934-2014

En 1967 Fanny Colonna entre au CNRS comme ITA au CRAM (Centre de Recherches sur l’Afrique Méditerranéenne) dirigé par Paul-Albert Février. C’est là qu’elle écrit , en marge d’activités documentaires et administratives, deux mémoires de DES en Histoire dirigés par P.-A Février et Mouloud Mammeri, soutenus à Alger en 1967. Elle est retenue au concours comme attachée de recherche au CNRS en 1969 (Pierre Bourdieu, Germaine Tillion). En 1970, elle soutient sa thèse de troisième cycle dans le cadre du CERDES à Alger (Centre d’études, de recherches et de documentation en sciences sociales), dirigée par Pierre Bourdieu; ce centre, rattaché à l’Institut d’Etudes politiques d’Alger était dirigé par Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron. Après une enquête de sociologie historique (sa thèse qui sera publiée en 1975), elle est à la recherche d’un nouveau terrain et d’une communauté scientifique en Algérie, elle est alors affectée au CRAPE (laboratoire de préhistoire et anthropologie) à Alger dirigé par Mouloud Mammeri, collaboration qui durera 10 ans. Entre 1973 et 1980, elle fait des séjours réguliers au Centre de Sociologie européenne dirigé par Pierre Bourdieu à Paris. Dans les années 80 elle collabore avec l’URASC à Oran (Unité de Recherche en Anthropologie sociale et culturelle), dirigée par A. Djeghloul, jusqu’en 1988. En 1985, elle est affectée en parallèle au GSPM (Groupe de sociologie politique et morale) créé par Luc Boltanski à Paris. En 1987, elle obtient son habilitation à diriger des recherches (Bourdieu, Arkoun, Gellner, de Fouchécourt, Benachenou). En 1990, lors de la création du département de Berbère à Tizi-Ouzou, elle y assume la direction des études et des enseignements de sociologie. En 1997-1998, elle est affectée de façon temporaire au CEDEJ (Le Caire). En 1998, elle rejoint le LAMES à la MMSH jusqu’à sa retraite. Au cours de deux cycles d'éméritat (2000-2005 et 2005-2010), elle poursuit son implication dans la recherche et dans la direction de thèses .

Couleau, Julien François

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  • Personne
  • 1906 - 1996

Né et élevé en Bourgogne (Châlon sur Saône). Son père était ingénieur au Creusot. Il avait effectué auparavant les calculs pour la construction du Pont Alexandre III à Paris, pour le pont transbordeur de Martigues, mais aussi pour les deux petits ponts suspendus sur la route de Temara à Bouznika, au Maroc.
Il avait conseillé à son fils de ne pas entreprendre des études d’ingénieur sans avoir connu au préalable la condition ouvrière, car une fois diplômé il n’aurait plus de rapports réels avec le monde ouvrier. Après cette expérience de plusieurs mois, Julien s’inscrivit à l’Institut National Agronomique de Paris. Diplômé en 1928, il fera un premier séjour au Maroc, un stage à la Ferme Expérimentale de Fès. C’était autour de 1929-1930. Puis il se présentera dans ce pays au concours des inspecteurs des impôts ruraux (le fameux Tertib) où il fut recruté. En même temps il fait du droit musulman et étudie l’arabe. Au début des années cinquante, il est diplômé du Centre des Hautes Etudes d'Administration musulmane (Paris).
Son premier poste est à Had Kourt, près de Ouezzane. Il loge dans un petit hôtel-restaurant tenu par un Grec (c’était en général le cas alors sur les principales routes du Maroc). Il reçoit la visite du contrôleur civil de l’endroit : c’était Jacques Berque. Leur amitié et leur collaboration a commencé là. C’était le début des années 1930.
En 1944, il était dans le Tadla, et c’est dans ses échanges avec les jamaâ-s locales (il parlait et lisait alors couramment l’arabe) que naît sa vision du Secteur de Modernisation du Paysannat (SMP). Il en confie l’idée à Berque, nommé directeur du Bureau des Etudes, à Rabat. Naît alors leur collaboration à partir du rapport de Couleau auquel Berque apporte sa touche : il s’agit de mettre la modernité à la portée des paysans.
En 1947-1948, devant l’opposition des gros propriétaires terriens, l’expérience est arrêtée et ses deux auteurs sont chassés de l’administration (la reconstitution de carrière de Couleau ne sera faite qu’en 1956). En 1953, il devra « s’exiler », quitter le Maroc pour la France, où il survit comme il peut.
Mais les Marocains ne l’oublient pas. Déjà avant la crise, Monsieur Yahia Benslimane (Ingénieur agronome) lui avait fait connaître Ben Barka, A. Bouabid et d’autres dirigeants de la lutte pour l’indépendance. (Yahia Benslimane, aura connu Couleau à travers son père qui connaissait Berque ; leur amitié n’aura pas cessé depuis). Ceux-là, à l’Indépendance, lui assureront les responsabilités de conseiller dans différentes directions de l’agriculture. Le roi Mohammed V le décorera du Wissam alaouite le jour de l’ouverture de l’Opération Labours (date ?). Son dernier poste sera celui de conseiller du gouverneur de Beni Mellal. Après cela, il prendra définitivement sa retraite.
Julien Couleau aura beaucoup écrit, nombre d’études… et aussi des romans, qui ne trouveront pas d’éditeur. Mais en 1968 paraît La paysannerie marocaine (Paris, Éd. du CNRS) où il livre toute sa connaissance du Maroc rural, éclairée par de brillantes et originales intuitions.
Il quittera définitivement le Maroc en 1990, acceptera de vivre dans une maison de retraite près d’Aix-en-Provence – ce qui permit à l’IREMAM de nouer des liens brefs mais féconds avec lui. Puis préfèrera se rapprocher de sa famille et s’installer dans une autre institution à Menton, où il décédera en 1996.
Il occupa successivement les postes de Contrôleur Civil puis d'Inspecteur des impôts ruraux (1930-1944); Inspecteur du secrétariat permanent du Paysannat marocain (1944-1947); Inspecteur central des Impôts ruraux au service de la mise en valeur et du génie rural du Maroc (enquête agricole mondiale organisée par la F.A.O. , études économiques et sociales des tribus devant bénéficier de l'irrigation. Etude préliminaire au programme de l'habitat rural marocain). Il est un proche collaborateur de Jacques Berque.

Cousin, Bernard

  • Personne
  • 1946 -...

Agrégation d'histoire en 1969 ; Doctorat d'Etat en 1981 : Le miracle et le
quotidien. Les ex-voto provençaux, images d'une société (XVIe-XXe siècles); Professeur d'Histoire à
l'Université de Provence, professeur émérite depuis octobre 2008; Directeur de Telemme entre 2001 et
2007) ; Ancien Vice-Président de l'Université de Provence ; Ancien directeur des PUP (Publications de l'
Université de Provence).Voir plus d'éléments biographiques sur http://telemme.mmsh.univ-aix.fr/membres/Bernard_Cousin

Dallet, Jean-Marie

  • IRref.fr_028119193
  • Personne
  • 1909-1972

Père blanc. - Écrivit sur la Kabylie

Déjeux, Jean

  • Personne
  • 1921-1993

Jean Déjeux est né à Albi (Tarn) le 05/11/1921 ; Prêtre de la confédération des Pères Blancs (Missionnaires d’Afrique) ; Guerre 1939-1945 : Comme sous-officier chef de groupe de mitrailleuse au 1er bataillon du 3ème régiment de Tirailleurs algériens, il participe aux Campagnes d’Italie et de France ; il est blessé deux fois et reçoit la Médaille militaire et la Croix de guerre ; Il étudie la philosophie et la théologie chez les Frères Blancs à Thibor et Carthage en Tunisie de 1945 à 1952 (avec un noviciat à Maison- Carrée, Alger, en 1947-1948). Il étudie la langue arabe et l’islamologie à l’Institut pontifical d’Etudes arabes à La Manouba en Tunisie de 1952 à 1955. Il participe au groupe de recherche sur l’approche sociologique et psychanalytique des œuvres de culture nord-africaine, sous la direction d’Albert Memmi à l’Ecole pratique des Hautes Etudes de la Sorbonne de 1956 à 1966. Il soutient son Doctorat d’Université en littérature d’expression française (Littérature maghrébine) à l’Université de Strasbourg II le 18/01/ 1979. Il participe de façon suivie aux revues : Se Comprendre (bulletin d’information sur le monde arabo-musulman), 1956-1966 ; Il fait partie du comité de rédaction de Confluent (Paris, dirigé par Paul Buttin), de 1962 à 1965 ; mais aussi du Comité de consultation de la revue Présence francophone (Sherbrooke, Canada), jusqu’à sa cessation en 1982, du Comité de rédaction de la revue Œuvres et critiques, série « Ecriture française hors de France » ; et du Conseil éditorial de la revue Francofonia (Université de Bologne). Ses activités universitaires l’ont amené à faire des cours et conférences dans les universités d’Europe (France, Danemark, Finlande, Italie, Autriche), d’Afrique (Yaoundé), des USA ( New York, Hartford, Temple University à Philadelphie, Los Angles, Berkeley, Seattle) ; du Canada ( Sherbrooke, Moncton), du Maghreb (Oujda). Il a été membre de jurys de thèse à Yaoundé, Lund, Varsovie, Paris. A partir de 1982, il est chargé de cours (Littérature maghrébine) au Centre international d’Etudes francophones de Paris-Sorbonne, dirigé par Mme Goré. A partir de 1985, il est chargé de cours à l’Institut national des Langues et Civilisations orientales (INALCO) sur « L’évolution culturelle et sociale du Maghreb contemporain depuis les indépendances ». Il est décédé le 17/10/1993 à Paris.

Desparmet, Joseph

  • Personne
  • 1863-1942

Après une licence es Lettres, Joseph Desparmet enseigne le Français et le latin en collège en France entre 1884 et 1888. Puis il demande un poste aux colonies pour réunir les matériaux d'une thèse. Nommé à Tlemcen en 1891, il commence l'étude de l'arabe qu'il poursuivra tout en enseignant dans les classes supérieures de Lettres. Dès l'obtention de son diplôme d'arabe à Alger, il devient professeur d'arabe à Medea en 1900, puis à Blida en 1902. Dans son enseignement il s'efforcera d'appliquer à l'arabe la réforme de l'enseignement des langues vivantes. Il est l'auteur d'un manuel, fondé sur le parler de Blida, réédité à plusieurs reprises qui restera inégalé pendant la période coloniale. Il entreprend des études et des recueils de tradition orale par des enquêtes ethnographiques poussées dans la région de Blida et dans la Mitidja. Il obtient l'agrégation d'arabe en 1907. Son important travail d’enquêtes ethnographiques donne lieu à des publications en 1908 et 1909, à Paris (Revue des études ethnographiques et sociologiques) et à Alger (Revue Africaine). Entre 1910 et 1917, il publie plusieurs travaux à résonnance politique dans le Bulletin de la Société de Géographie d’Alger et de l’Afrique du Nord. « Par l’analyse de récits populaires largement diffusés mais ignorés des Français, il met à jour les résistances précoces de la culture "nationale" musulmane qui ne tolère un gouvernement chrétien que parce qu’elle est convaincue de son caractère éphémère ».  Son travail principal, L'ethnographie traditionnelle de la Mittidja (1918-1936), participe à la « mise en valeur de l'Islam traditionnel des marabouts face à l'opposition croissante du réformisme musulman ». Après sa retraite en 1928, où il vit entre Alger et l'Ardèche,  il entreprend à nouveau « des travaux lourds d'enjeux politiques. A travers l'étude des poésies populaires et des satires politiques composées en Algérie depuis 1830, il démontre sa lucidité devant la montée d'un nationalisme algérien ».

Donzel, André

  • Personne
  • 1949-...

Après une maîtrise de sociologie, en 1974, André Donzel , soutient un doctorat de 3ème cycle de sociologie à l'Université de Provence en 1983. Suit une phase d'enseignement (1974-1975, Académie d'Aix-Marseille); puis il devient attaché de recherche contractuel (1975-1980, Laboratoire de Sociologie de l’Industrialisation et du Développement, Université de Provence, Aix-en-Provence). De 1980 à 1998, il travaille comme Ingénieur d’études CNRS (Centre de Recherche en Ecologie sociale, EHESS, Marseille). Depuis 1998, il est Chargé de recherche CNRS (1ère classe) au Laboratoire méditerranéen de Sociologie (LAMES-UMR 6127), Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme, Aix-en-
Provence. Ses domaines de recherche sont centrés sur la Sociologie du développement urbain et régional et plus précisement sur les méthodes d’analyses de données appliquées aux sciences sociales; les études de morphologie sociale en milieu urbain; l'analyse des déterminations socioéconomiques des marchés fonciers et immobiliers; l'analyse des politiques d’aménagement du territoire et des formes de gouvernance locale.

FORMATION

  • Baccalauréat Mathématiques élémentaires – Lycée Vaugelas, Chambéry, Savoie (1967)
  • Classe préparatoire aux grandes écoles de commerce – Lycée du Parc, Lyon (1967-1969)
  • Diplômé de l’Ecole Supérieure de Commerce de Marseille (1972)
  • Maîtrise de Sociologie - Université de Provence, Aix-en-Provence (1974)
  • Doctorat de 3ème cycle de Sociologie - Université de Provence, Aix-en-Provence (1983)
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