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Notice d'autorité

Cousin, Bernard

  • Personne
  • 1946 -...

Agrégation d'histoire en 1969 ; Doctorat d'Etat en 1981 : Le miracle et le
quotidien. Les ex-voto provençaux, images d'une société (XVIe-XXe siècles); Professeur d'Histoire à
l'Université de Provence, professeur émérite depuis octobre 2008; Directeur de Telemme entre 2001 et
2007) ; Ancien Vice-Président de l'Université de Provence ; Ancien directeur des PUP (Publications de l'
Université de Provence).Voir plus d'éléments biographiques sur http://telemme.mmsh.univ-aix.fr/membres/Bernard_Cousin

Etienne, Bruno

  • Personne
  • 1937-2009

Bruno Étienne est né le 6 novembre 1937 à La Tronche (Isère). Il effectue une partie de sa scolarité à la Seyne-sur-Mer (Var), au Collège Sainte-Marie, puis au Lycée Thiers à Marseille. Il fait des études de droit et de science politique à Aix-en-Provence. Il est diplômé de l’Institut d’Études Politiques d’Aix-en-Provence et diplômé d’arabe de l’Institut Bourguiba des Langues (Tunis). En 1965 il soutient, sous la direction du Professeur Maurice Flory, une thèse intitulée « Les Européens et l’Indépendance de l’Algérie » et obtient le grade de Docteur d’État en droit public et en science politique. En 1962 il intègre comme chercheur le CNRS et y restera rattaché jusqu’en 1965. De 1966 à 1974 il part en Algérie comme coopérant technique. Il enseigne notamment au sein de l’École nationale d’administration et exercera diverses charges de conseillers techniques auprès des autorités algériennes. En 1974 il rentre en France et prépare le concours de l’agrégation en science politique qu’il obtient en 1975. De 1977 à 1979 il est Maître de Conférences en droit public et science politique à la Faculté de droit de l’Université de Casablanca. Rentré définitivement en France en 1980, il assure l’intérim de Maurice Flory à la direction du Centre de recherche et d’étude des sociétés méditerranéennes (CRESM) d’Aix-en-Provence. Nommé Professeur de science politique, il est brièvement rattaché à l’Université Lyon II avant d’intégrer définitivement l’Institut d’Études Politiques d’Aix-en-Provence. Pendant plus de vingt ans il y dispense un enseignement en science politique et en anthropologie religieuse comparée. En 1992 il crée l’Observatoire du religieux qui fédère au sein de l’Institut d’Études Politiques les recherches en science politique, en sociologie et en anthropologie sur le phénomène religieux. Il est membre de l’Institut universitaire de France (IUF) de 1996 à 2004; « Visiting professor » aussi bien en Tunisie (Tunis), qu’en Egypte (Le Caire), en Turquie (Marmara), en Syrie (Damas), en Israël/Palestine, aux USA (Princeton) et au Japon (Tokyo, Kyoto) et professeur émérite des universités à partir de 2004. Bruno Étienne est également Franc-maçon, affilié au GODF depuis 1960. Il s’éteint le 4 Mars 2009 à Aix-en-Provence.

Michel, Marc

  • Personne
  • 1935 - ...

Ancien élève de l ́Ecole normale supérieure de Saint-Cloud, Marc Michel est agrégé d ́histoire, docteur de 3ème cycle, docteur d ́Etat et actuellement professeur
émérite à l ́Université de Provence.
Après avoir passé sa petite enfance en Afrique puis effectué ses études secondaires et supérieures à Paris, il est retourné en Afrique où il a exercé les fonctions de maître de conférences à Brazzaville et à Yaoundé lorsque y furent mises en place les universités d ́Afrique centrale et du Cameroun. Il a soutenu une thèse de 3e cycle sur la Mission Marchand en 1968 sous la direction du professeur Henri Brunschwig puis une thèse d’Etat sur la contribution de l’Afrique occidentale française à
la Première Guerre mondiale en 1979 sous la direction du professeur Jean-Baptiste Duroselle.
Revenu en France en1969, il a occupé les fonctions de maître de conférencesà la Sorbonne, puis de professeur à l`Université Blaise Pascal à Clermont-Ferrand (1982-1985), enfin à l'Université de Provence dont il a été nommé professeur émérite.
Marc Michel a effectué de nombreuses missions d’enseignement et d’enquête de terrain en Afrique : au Sénégal, au Burkina, au Mali, au Cameroun, en RCA, au Burundi. Il a dirigé l’Institut d’Histoire comparée des Civilisations (IHCC) à Aix en Provence (aujourd’hui section aixoise de l’Institut des Mondes africains IMaf,). Il a été président de la Société française d’Histoire d’Outre-mer de 1995 à 2003, également membre de la section des Lettres et Sciences humaines du CNL.
II a été membre du Jury de l’Agrégation d’Histoire de 1993 à 1996. Il est membre du Conseil scientifique de l’Historial de la
Grande Guerre à Péronne depuis sa fondation. Enfin, il a participé à de nombreuses émissions de Radio France Internationale.

Desparmet, Joseph

  • Personne
  • 1863-1942

Après une licence es Lettres, Joseph Desparmet enseigne le Français et le latin en collège en France entre 1884 et 1888. Puis il demande un poste aux colonies pour réunir les matériaux d'une thèse. Nommé à Tlemcen en 1891, il commence l'étude de l'arabe qu'il poursuivra tout en enseignant dans les classes supérieures de Lettres. Dès l'obtention de son diplôme d'arabe à Alger, il devient professeur d'arabe à Medea en 1900, puis à Blida en 1902. Dans son enseignement il s'efforcera d'appliquer à l'arabe la réforme de l'enseignement des langues vivantes. Il est l'auteur d'un manuel, fondé sur le parler de Blida, réédité à plusieurs reprises qui restera inégalé pendant la période coloniale. Il entreprend des études et des recueils de tradition orale par des enquêtes ethnographiques poussées dans la région de Blida et dans la Mitidja. Il obtient l'agrégation d'arabe en 1907. Son important travail d’enquêtes ethnographiques donne lieu à des publications en 1908 et 1909, à Paris (Revue des études ethnographiques et sociologiques) et à Alger (Revue Africaine). Entre 1910 et 1917, il publie plusieurs travaux à résonnance politique dans le Bulletin de la Société de Géographie d’Alger et de l’Afrique du Nord. « Par l’analyse de récits populaires largement diffusés mais ignorés des Français, il met à jour les résistances précoces de la culture "nationale" musulmane qui ne tolère un gouvernement chrétien que parce qu’elle est convaincue de son caractère éphémère ».  Son travail principal, L'ethnographie traditionnelle de la Mittidja (1918-1936), participe à la « mise en valeur de l'Islam traditionnel des marabouts face à l'opposition croissante du réformisme musulman ». Après sa retraite en 1928, où il vit entre Alger et l'Ardèche,  il entreprend à nouveau « des travaux lourds d'enjeux politiques. A travers l'étude des poésies populaires et des satires politiques composées en Algérie depuis 1830, il démontre sa lucidité devant la montée d'un nationalisme algérien ».

Déjeux, Jean

  • Personne
  • 1921-1993

Jean Déjeux est né à Albi (Tarn) le 05/11/1921 ; Prêtre de la confédération des Pères Blancs (Missionnaires d’Afrique) ; Guerre 1939-1945 : Comme sous-officier chef de groupe de mitrailleuse au 1er bataillon du 3ème régiment de Tirailleurs algériens, il participe aux Campagnes d’Italie et de France ; il est blessé deux fois et reçoit la Médaille militaire et la Croix de guerre ; Il étudie la philosophie et la théologie chez les Frères Blancs à Thibor et Carthage en Tunisie de 1945 à 1952 (avec un noviciat à Maison- Carrée, Alger, en 1947-1948). Il étudie la langue arabe et l’islamologie à l’Institut pontifical d’Etudes arabes à La Manouba en Tunisie de 1952 à 1955. Il participe au groupe de recherche sur l’approche sociologique et psychanalytique des œuvres de culture nord-africaine, sous la direction d’Albert Memmi à l’Ecole pratique des Hautes Etudes de la Sorbonne de 1956 à 1966. Il soutient son Doctorat d’Université en littérature d’expression française (Littérature maghrébine) à l’Université de Strasbourg II le 18/01/ 1979. Il participe de façon suivie aux revues : Se Comprendre (bulletin d’information sur le monde arabo-musulman), 1956-1966 ; Il fait partie du comité de rédaction de Confluent (Paris, dirigé par Paul Buttin), de 1962 à 1965 ; mais aussi du Comité de consultation de la revue Présence francophone (Sherbrooke, Canada), jusqu’à sa cessation en 1982, du Comité de rédaction de la revue Œuvres et critiques, série « Ecriture française hors de France » ; et du Conseil éditorial de la revue Francofonia (Université de Bologne). Ses activités universitaires l’ont amené à faire des cours et conférences dans les universités d’Europe (France, Danemark, Finlande, Italie, Autriche), d’Afrique (Yaoundé), des USA ( New York, Hartford, Temple University à Philadelphie, Los Angles, Berkeley, Seattle) ; du Canada ( Sherbrooke, Moncton), du Maghreb (Oujda). Il a été membre de jurys de thèse à Yaoundé, Lund, Varsovie, Paris. A partir de 1982, il est chargé de cours (Littérature maghrébine) au Centre international d’Etudes francophones de Paris-Sorbonne, dirigé par Mme Goré. A partir de 1985, il est chargé de cours à l’Institut national des Langues et Civilisations orientales (INALCO) sur « L’évolution culturelle et sociale du Maghreb contemporain depuis les indépendances ». Il est décédé le 17/10/1993 à Paris.

UNESCO

Bonète, Yves

  • Personne
  • 1925-...

Yves Bonète est né le 5 novembre 1925 à Alger. Il reçoit d’abord une formation d’ingénieur des travaux publics de l’Etat. En 1952, sa véritable vocation le pousse vers une activité d’aide et d’assistance à des travailleurs, comme des artisans, rencontrant des difficultés dans leur profession. Lucien Golvin le nomme au poste de Chef de circonscription artisanale de Laghouat (Algérie). A partir de 1960, date de la coupure administrative Algérie-Sahara, il exerce la fonction de Chef de service de l’artisanat jusqu’en octobre 1962. Au cours de cette décennie passée au Sahara, il constitue la documentation photographique déposée à la Médiathèque de la MMSH. Il étudie pendant cette période une fraction de tribu de pasteurs nomades (Larbaa), étude pour laquelle il obtient un doctorat de troisième cycle de Géographie humaine en 1962. Il écrit des articles dans la revue Les Cahiers des arts et techniques d’Afrique du Nord. A son retour en France, il a une activité pour le Bureau international du Travail jusqu’en 1985, date à laquelle il prend sa retraite.

Marçais, Georges

  • Personne
  • 1876-1962

Georges Marçais, né à Rennes le 11/03/1876 et décédé à Paris le 20/05/1962, est le fondateur de l’archéologie et de l’histoire de l’art musulman occidental. Issu d’une famille de d’artistes et d’hommes de lettres, il se forme d’abord à l’Ecole des Beaux-Arts de Rennes puis à celle de Paris. En 1899, il rejoint son frère William à Tlemcen où celui-ci vient d’être nommé directeur de la madrasa. Sur son conseil et suite à l’impression puissante produite sur lui par le patrimoine architectural algérien, il modifie son parcours d’artiste pour devenir historien. Il suit à Rennes l’enseignement du géographe Martonne et des historiens Jordan et Henri Sée. Il obtient sa licence en 1904, un brevet d’arabe à Alger en 1906. Il est nommé professeur de lettres à la médersa de Constantine en 1907. En 1913 il soutient sa thèse d’histoire Les Arabes en Berbérie du XIème au XIVème siècle, complétée par un travail sur l’Art musulman, Contribution à l’étude de la céramique musulmane, spécialité qu’il continue de traiter dans d’autres publications. Pendant la première guerre il supplée Bel à la direction de la médersa de Tlemcen, puis à la médersa d’Alger. Il est ensuite nommé chargé de cours à la faculté des Lettres d’Alger en 1916, puis devient titulaire lors d’une création de chaire d’archéologie musulmane en 1919. En 1920, il est nommé Directeur du Musée des Antiquités algériennes et d’Art musulman (futur Musée Gsell), où il réside jusqu’en 1961. Ses publications principales sont dans le domaine de l’architecture et se rapportent aussi aux productions se situant en limite de l’artisanat (vêtement, costume). Tout en imposant la notion d’un art musulman occidental, il s’intéresse à l’architecture musulmane d’Orient et collabore avec Gaston Wiet. En 1935, il fonde à Alger un Institut d’Etudes Orientales qu’il dirige jusqu’en 1946. A la fin de la deuxième guerre il est mis provisoirement à la retraite d’office puis réintégré. Il conserve la direction du Musée Gsell et il est nommé professeur à l’Institut des Hautes Etudes de Tunis, jusqu’en 1958. Son disciple Lucien Golvin lui succède à Alger en 1957 à la chaire d’Art et de civilisation de l’Islam. . Il obtient le Prix Littéraire de l’Algérie en 1951 pour l’ensemble de son œuvre. Cf. Alain Messaoudi.- "Marçais Georges", in François Pouillon (éd.), Dictionnaire des Orientalistes de langue française, ISSMM-Karthala, 2ème éd., Paris, 2008, pp. 640-641.

Flory, Maurice

  • Personne
  • 1925-...

Maurice Flory est né le 19 juin 1925 à Paris. Il est Docteur en droit en 1950 et agrégé des Facultés de droit, en 1952. Entre 1952 et 1956, il est Professeur à la Faculté de droit de Rabat, puis Conseiller culturel de l'Ambassade de France, Chef de la mission universitaire et culturelle française au Maroc, entre 1967 et 1971. Professeur de droit international à la Faculté de droit et de science politique de l'Université d'Aix-Marseille, de 1956 à 1967, puis de 1971 à 1993. Professeur émérite puis honoraire à la Faculté de droit et de science politique, en 1993. Ses fonctions diverses : Directeur de l'Institut d'études juridiques de La Réunion (1959-1962) ; Directeur du Centre d'études internationales et communautaires, de 1973 à 1978 ; Membre du Comité » national du CNRS (1960-1970, puis 1980-1986); Directeur de l'UFR Recherches juridiques (1975-1978); Directeur du Centre de recherches et d'études sur les sociétés méditerranéennes (CRESM, Laboratoire associé au CNRS), de 1971 à 1984; Membre du Comité consultatif de la recherche scientifique et technique; Responsable du service des relations internationales de l'Université d'Aix-Marseille III à partir de 1985 ; Membre du Conseil supérieur des Universités (1986-1988), puis du Conseil National des Universités (1992-1993); Président du Centre Franco-allemand de Provence (Maison de Tübingen), de 1989 à 1999; Président de l'Académie des sciences, agriculture, arts et belles lettres d' Aix en Provence (1998-2000); Président de la Fondation de Lourmarin (1998-2005); Distinctions : Prix Goulencourt (Faculté de Droit de Paris 1950) ; Officier de la Légion d'honneur ; Commandeur des Palmes académiques ; Médaille d'argent du CNRS ; Commandeur du Ouissam Alaouite (Maroc) ; Docteur Honoris Causa de l'Université de Tübingen ; Prix Hans Gmelin (Tübingen) 1998 ; Verdienst Kreuz, 1 Klasse (Allemagne).

Ilbert, Robert

  • 1950-...

Professeur à l'Université de Provence (Université Aix-Marseille I), il est le fondateur de la Maison méditerranéenne des sciences de l'homme (MMSH Aix-en-Provence) et de l'Institut méditerranéen de recherches avancées (IMéRA Marseille), ouvert en 2008 sur le site de l'Observatoire de Marseille. Né à Marseille en 1950, Robert Ilbert est épistémologue de formation initiale. Agrégé d'histoire en 1974, il enseigne d’abord au lycée de Mende (Lozère) avant de se spécialiser sur le Moyen-Orient. Docteur en études islamiques(1979) et docteur d'État, il a acquis une renommée internationale par ses travaux sur la ville d’Alexandrie au XIXème siècle, dans lesquels il met en relief les mécanismes de fonctionnement d'une société urbaine cosmopolite au travers de diverses phases historiques. Enseignant à l’Université du Caire, Robert Ilbert a assuré durant deux ans la responsabilité scientifique du CEDEJ, tout en éditant à l’Institut Français d’Archéologie Orientale, du Caire près de vingt volumes de la collection « Voyageurs Occidentaux en Égypte». Nommé en 1984 à l’Université de Provence Aix-Marseille I, où il a fait toute sa carrière, Robert Ilbert est intégré à la première promotion de l’Institut Universitaire de France, tout en assurant l’enseignement de Méthodologie du cycle supérieur d’Études Politiques à l’Institut d’Études Politiques de Paris, avec Rémy Leveau, et en multipliant les interventions dans des universités étrangères, particulièrement à Oxford. Chargé de Mission auprès des ministres de la recherche Hubert Curien puis Claude Allègre, il rejoint en 1996 la Direction de la Recherche comme directeur des sciences Humaines. À ce titre il joue un rôle central dans la réorganisation de l’ensemble de ce secteur (Réseau des MSH, Institut National d’Histoire de l’Art ; Institut National d’Archéologie Préventive; Unités Mixtes à l’étranger), avant d’être nommé en 1998 Président du Conseil national de coordination des sciences humaines et sociales et membre du conseil National de la Science. La même année, il inaugure la Maison Méditerranéenne de Sciences de L’Homme à Aix-en-Provence, qu’il a dirigée dix ans. Simultanément, ses efforts portent sur l’affirmation et la diffusion d’une méthode de travail qui refuse tout essentialisme musulman ou méditerranéen, en affirmant à la fois la prépondérance des concepts et le rôle moteur de l’intuition. Il développe et diffuse sa conception de la recherche (analytique et inductive) par le biais de recherches collectives, à travers la direction de grands programmes internationaux : « Mégapoles Méditerranéennes » (avec Claude Nicolet) ; «  Individu et société en Islam méditerranéen (dix volumes publiés chez I.B.Taurus, coll.The Islamic Mediterranean, soutenu par l’European Science Foundation) et enfin « Ramses (programme cadre de l’Union Européenne)». Il a ainsi pu diffuser sa méthode et sa conception de l'histoire contemporaine de la Méditerranée, conçue comme la construction culturelle et sociale d’un «système de différences complémentaires». Dans cette même perspective, Robert Ilbert a dirigé de nombreux travaux de thèse. Frappé en 2001 par un accident vasculaire cérébral massif, il a dû réduire considérablement ses activités, ce qui ne l’a pas empêché de publier une première synthèse sur le Levant, avec « De suez à Panama : L’articulation des Mondes » (Actes Sud, 2010) ainsi qu’une cartographie historique des mondes méditerranéens: « Mediamed » sur le site « Cartomed » de la MMSH (aujourd’hui intégré dans la plate-forme Cartomundi), http://cartomed.mmsh.univ-aix.fr/; Son approche épistémologique transdisciplinaire se retrouve pour sa part dans la mise en place entre 2008 et 2012 du Réseau Français des Instituts d’Études Avancées (RFIEA) et particulièrement de l’Institut Méditerranéen de Recherches Avancées(Iméra, Marseille), seul « Institute for Advanced studies » au monde à être ouvert aux chercheurs de toutes disciplines scientifiques et artistiques en prenant pour point de convergence l’Incertitude considérée comme l’un des fondements de l’Univers contemporain. Membre Honoraire de l’Institut Universitaire de France, Robert Ilbert est aujourd’hui Professeur Émérite, chevalier de la Légion d’Honneur et Commandeur dans l’Ordre des Palmes Académiques. Il est aussi lauréat du Prix Scientifique Philip Morris (1997) et du Grand Prix du Festival des Sciences(2008). Cf. Wikipédia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Ilbert

Ithier, Jean-André, (documents).

Officier des Affaires Indigènes au Maroc dans les années quarante (chef du poste des A. I. de Zaouïa Ahansal), puis Oficier aux Affaires algériennes dans les années cinquante.

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